En vertu du contrat de service qui le lie à l’Etat, GDF Suez serait en droit de répercuter la hausse du coût des approvisionnements de matière première sur ses tarifs à la consommation. Si tel était le cas, la hausse, annoncée pour le 1er octobre 2011, serait de 5 à 10%. Mais actuellement, le gouvernement, qui avait décrété le gel des tarifs de l’énergie jusqu’en 2012, tenterait de négocier un compromis avec le gazier avec de décupler le nombre des exemptions de hausse accordés aux foyers les plus précaires.